Le rituel le plus obscura de la culture cumbia rave : basses, ombres, sueur et désir jusqu’à l’aube.
L’Édition Obscura n’est pas un spectacle — c’est une initiation. Un rite interdit où les ombres respirent et les basses frappent comme l’obsidienne. Turbo Sonidero, fondateur du culte Kumbia Obscura, commande l’autel avec une fureur ancestrale forgée en feu électronique. Aux côtés des résidents de Kumbionik, chaque artiste devient un vilain, chaque set un piège : tension érotique, hypnose de rue, rythmes qui enivrent comme un interdit. C’est une nuit de péché, de sueur et d’abandon — un rituel qui ne divertit pas, il consume. Une fois dedans, tu ne danses pas ; tu confesses, tu brûles, tu es possédé.
Turbosonidero, pionnier de la Kumbia Obscura, relie San José et Puebla avec feu barrio-futuriste.
Escobutt, artiste colombienne-canadienne, brise les genres avec cumbia électronique, néo-guaracha et vision queer.
Juanito apporte de la cumbia de rue et des edits tropicaux depuis Toronto, pur sabor et héritage en mouvement.
Jaijiu réinvente le folklore argentin en club futuriste, de Buenos Aires à Montréal.
Shame transforme la cumbia urbaine en labo futuriste depuis Montréal : basses lourdes, edits de rue, vibes néo-tropicales.
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